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When the trees came down no one knew how / to interpret the light. homeless / it bounces off glass surfaces / pierces the wandering eye- These poems walk streets and take snapshots of the impact financialization of our homes has on our sense of community and belonging. Meandering through physical and philosophical materials - cement, memory, water, narrative, history, sand, light, concrete, and others' voices - Daniela Elza documents this urgent moment. The reader winds through fragments amidst urban fragmentation. A sequence of triptych poems hearkens to silos, skyscrapers, and streets. Readers here have a choice: they can read across the page or down. She channels Syrian architect Marwa Al-Sabouni, who says, "The fabric of our cities is reflected in the fabric of our souls." SCAR/CITY emerges from the Vancouver context to take on global issues of predatory finance and a market that mines homes for profit. It steps outside of binary conversations in favour of poetic reflection and interrogates a system that results in perceptible depravity and scarcity, which leaves us homeless, metaphorically and literally. French philosopher Gaston Bachelard says, "The space we love is unwilling to remain permanently enclosed ... Space calls for action, and before action, the imagination is at work." Amidst negotiations and advocacy in the fight for security of tenure and lease renewal, SCAR/CITY is a poetic call to action.