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In 66 pseudoromantischen Kalligraphien dekliniert Crauss Wolkenphänomene, Flussläufe, Sümpfe und Steilküsten literarisch und kunstgeschichtlich durch. Die »Schönheit des Wassers« besteht aus fein gefügten lyrischen Panoramen, bei denen jedes Wort sitzt. Crauss, der sich spielerisch in allen poetischen Tonlagen bewegt, setzt in diesem Band auf eine filigrane Konstruktion, die wie ein Fraktal an allen Enden züngelt, brandet, schäumt und wogt.Elementare Erotik auf engstem Raum: streng, zurückhaltend, dann wieder in einem Schwall aufbrechend; hier nähert sich ein leidenschaftlicher poeta doctus nicht kühl, sondern voller Hingabe seinem maritimen Gegenstand. Der Dichter malt Veduten aus gefährlichem Frauenduft und stellt Opheliate her aus dem Schweiß, der einem über den Rücken rinnt. Die Gischt ist das Produkt eines pathetischen, aufbrausenden Urstoffs, der Nebel das emotionale Gegenteil.