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Die johanneische Gleichung "Gott ist Liebe" bringt das Wesen Gottes in einer Kürzest-Formel auf den Punkt. Doch welches ist die anthropologische Konsequenz, die daraus folgt? Ist die Liebe nicht auch ein Wesenszug des Menschen - nicht zuletzt durch dessen Gottesebenbildlichkeit? Und von welcher Liebe sprechen wir überhaupt? Theologisch wird Liebe oft in eine bedürftige und begehrende sowie eine sich selbstlos verströmende geteilt. Ist diese Dichotomie überhaupt durchzuhalten - oder sind die unterschiedlichen Erscheinungsformen der Liebe nicht letztendlich aufeinander bezogen und in Gott begründet? Die vorliegende Arbeit geht davon aus, dass der Mensch in der tätigen Liebe am Schöpfungshandeln Gottes teil hat.