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Zum identifikatorischen Lesen am Beispiel des Romans »Les bienveillantes« von Jonathan Littell.Jonathan Littells »Les bienveillantes« (2006) löste in Frankreich und Deutschland eine Debatte aus. Den Kern der Provokation bildet die Tatsache, dass der Roman den Leser zu einer Identifikation mit einem Nazi-Täter nötigt. Von Koppenfels nimmt diesen Fall zum Anlass, die abgründige Seite des identifikatorischen Lesens in Augenschein zu nehmen. Er untersucht die literarische Tradition der infamen Ich-Erzählung, die psychologischen Mechanismen, die solche Tätererzählungen aktivieren, und die Rolle der deutschen Sprache in diesem literarischen Spiel aus Vereinnahmung und Abstoßung.