Ah j'ai aimé ! - superbes nos collines, le chêne, les bois où mon frère la nuit sortait comme loup affamé, et toi, mon coeur, avec la voix, avec les bras pour élancer encore un jour, un autre encore sur nos collines !
Ah j'ai aimé !, l'orée, la braise, l'aiguille.
Et tout ça je te le dois, avec ma langue libre, là - au-dessus de nous.
Ah j'ai aimé ! Et toi, mon coeur, avec les bras, avec la voix -.
J'honorerai le cri, la main, le souffle.