Luca Tarlazzi, avec la maestria d'un artiste de la Renaissance, nous offre une peinture de l'Italie fin de siècle, exhibitionniste et décomplexée. La Serena qu'il met en scène, sodomisée pour la première fois par un routard tchèque rencontré sur une plage de naturiste, n'a pas froid aux yeux. Et les rebondissements qu'il inocule à ce scénario réaliste vont s'amplifier dès le deuxième tome.