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Unter dem Motto der Alternativlosigkeit wird mit jenen Mitteln der 'Großen Krise' zu Leibe gerückt, die diese gerade vertiefen. Die Mainstream-Ökonomie steht vor einem Scherbenhaufen und hat - parteiübergreifend - à la longue keine besseren Ideen als die alten: die stets wachsende Marktwirtschaft als angeblichen Garanten eines relativen Reichtums für alle.Der unaufhörliche Marathon der Krisengipfel vermag jedoch nicht darüber hinwegzutäuschen, dass der Neoliberalismus, egal ob 'rheinisch' oder 'angelsächsisch', gerade diese Karte verspielt hat. Arm wird ärmer, Reich reicher, und was sich dazwischen wähnt, spürt den Stachel drohenden sozialen Abstiegs. Die Absehbarkeit dieses Spiels mit der Ohnmacht und der Angst der abhängig Beschäftigten lässt in der Tat keine andere Wahl, als das 'Weiter-so' grundlegend in Frage zu stellen.Vor dem Horizont dieser vermeintlich 'alternativlosen' Zukunft müssen zwei Fragen im Detail untersucht werden, erstens, woher die herrschende Doktrin ihre Legitimation in der ökonomischen Lehre bezieht, und zweitens, inwiefern die Kritik der politischen Ökonomie tatsächlich ihrer sachlichen Berechtigung verlustig gegangen ist. Sollte sich nämlich zeigen lassen, dass die Arbeit und die Erde konsistent als die Quellen der Wertschöpfung dargestellt werden können, wäre es an der Zeit, die gegenwärtigen Auffassungen der Ökonomie systematisch zu delegitimieren.