Dans une centaine de textes courts inspirés du haïku et accompagnés de photos personnelles, l'auteur nous parle de l'hôpital, de la douleur, de la souffrance. Il nous livre ici une palette d'impressions inédites sur le vécu des malades, de leur entourage et sur celui du personnel hospitalier.
« On voit ici que l'attention aux choses manifestée par le poète agit comme un baume salvateur sur la douleur dont le milieu hospitalier est le théâtre habituel. Le poème affirme que le monde continue de vivre alentours y compris dans sa beauté. En dépit ou à cause de la souffrance ».
Georges Guitton (extrait de la postface)