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Au tournant des années 70 et jusqu'à aujourd'hui, la nouvelle française a connu un renouveau dont on n'a pas encore pris toute la mesure. Georges-Olivier Chateaureynaud est un des artisans majeurs de ce phénomène. A côté des grandes nouvellistes réalistes comme Annie Saumont, Claude Pujade-Renaud ou Christiane Baroche, c'est le registre du fantastique « à la française », plus soucieux d'intriguer et de troubler, de « confondre » que d'effrayer, qu'il aura renouvelé. Le présent recueil en témoigne, après Le Héros blessé au bras, Le Kiosque et le tilleul, Le Goût de l'ombre. Débarrassé de ses clichés et de son bric-à-brac, le fantastique est à même de continuer l'exploration de la psyché humaine qui a de tout temps constitué sa visée véritable. Ici, une ancienne actrice défigurée par la foudre s'offre à l'éclair qui viendra la reprendre... Là, un homme accumule chez lui, jusqu'à vivre un enfer, les fantômes pourtant bien paisibles de ses proches décédés... Un chauffeur de taxi découvre au coeur de la ville qu'il parcourt depuis des années une rue inconnue de lui, où le goût de la vie devient bouleversant, mais qu'y-a-t-il au bout de la rue ?... Pour quelques billets, une gitane révèle aux convives d'un restaurant combien de temps il leur reste à vivre, mais que faire de ce savoir ?... Dans les villes rêvées par l'auteur, on peut offrir son coeur pour de bon à la personne de son choix, on peut s'autofusiller grâce à un peloton d'exécution automatique - à condition d'avoir l'appoint, car la machine ne rend pas la monnaie. Le fantastique de Chateaureynaud décrit sur un mode métaphorique et poétique un monde cruel, narquois, tantôt invivable et tantôt paradisiaque, un monde à tout moment réversible : le nôtre.