Mon horrible père avait ce qu'il appelait l'objectif «note de chauffage». Il avait l'habitude de nous fourrer les factures de chauffage sous le nez en nous disant : «Allez-y, allez-y, continuez à vivre dans une fournaise, si c'est ce que vous voulez. Mais souvenez-vous : si vous montez le chauffage en septembre, vous devrez le baisser en février...»