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Resulta curioso comprobar en este texto cierta coincidencia con la situación actual de nuestro país, y, por fin, parece que también de Italia. Porque la obra habla de ciudadanos indignados, dos amas de casa en concreto, que deciden practicar la desobediencia civil, robando comida de los supermercados que suben los precios sin parar en plena crisis económica. El montaje de la obra tuvo tanta repercusión, que en Milán se produjeron casos reales de “saqueo” de supermercados, y Fo fue denunciado por “instigación al delito”. Casi 40 años más tarde ha reescrito este texto, cambiándole hasta el título y situándolo en la Italia de Berlusconi. Por supuesto, en la versión se han eliminado las referencias concretas a ministros y otros políticos, que además, gracias a la tan esperada reacción del pueblo italiano, dentro de poco habrán desaparecido, por suerte, del mapa político. Esto nos reconduce a la vieja polémica de si envejecen los textos políticos, como las farsas que Fo escribió en los duros años 70, los “años del plomo” en una Italia amenazada por el rebrote del fascismo. Este peligro ha preocupado siempre a Dario Fo, y posiblemente sea el origen de esta operación de “aggiornamento” que ha practicado en Sotto paga! Non si paga! Fo centra este cambio sobre todo en el personaje de Juan, haciéndolo menos dogmático, más flexible, aunque sin renunciar a sus convicciones de izquierda, como los otros personajes, policía radical incluido. Y así el texto sigue teniendo, como todos los que son buenos, la calidad de ser, tal vez, aún más oportuno que cuando se escribió.