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Die Studie zeigt am Beispiel Österreichs, dass Tod durch Suizid keineswegs - wie von manchen Vertretern Individuum-zentrierter Forschungsrichtungen immer noch behauptet - ein schicht-unabhängiges Phänomen ist. Vielmehr wird anhand von Analysen fallbezogener sowie aggregierter quantitativer Daten aufgezeigt, dass soziale Faktoren wie Erwerbstätigkeit, Einkommen und Bildung, gemeinsam mit psychischen und somatischen Erkrankungen, einen wesentlichen Einfluss auf das Suizidrisiko haben - wobei dies sowohl für einzelne Personen, als auch für ganze Regionen innerhalb einer Gesellschaft gilt. Es wird aber auch belegt, dass Regionen, die hinsichtlich psychosozialer Angebote für Hilfesuchende (Psychiater, Psychotherapeuten, Psychosoziale Zentren) höhere Versorgungsdichten aufweisen, tendenziell geringere Suizidhäufigkeiten zu verzeichnen haben.