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n seinen neuen Essays beschäftigt sich Jochen Kelter mit der Literatur in einer sich zunehmend verändernden Gesellschaft, deren Verwerfungen auch in seinen Erinnerungen an die Grenzregion am Bodensee seit den 70er-Jahren aufscheinen. Er liefert einen Abriss der Geschichte des Urheberrechts, erzählt augenzwinkernd von Literaturpreisen, die er (nie) erhalten hat und vom ersten Literaturhaus der Ostschweiz im idyllischen Gottlieben und konstatiert den ökonomisch bedingten schleichenden "Tod der Literatur" in den letzten 25 Jahren. Und er berichtet von seinem akademischen Lehrer Hans Robert Jauss, dem hoch gerühmten Begründer der Konstanzer Rezeptionsästhetik und früheren Offizier der Waffen-SS. Kritisch beschäftigt er sich, bedingt nicht zuletzt durch eine hybride Biographie, mit den Themen Heimat und Sprache. Durch die neoliberalen Verwerfungen und Migrationsströme "global heimatlos" geworden , flüchtet er sich in die Sprache als eine letzte "wirkliche Heimat". Aber er kommt auch zu dem Schluss: "Sprache ist eine Wanderdüne. Und ich bewege mich in diesen Dünen aus verschiedenen Sprachen und und ihren Bewegungen."