Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Kaum ein Wort ist heute umstrittener als Empfindsamkeit. Michael Stavarics Langgedicht geht tatsächlich dem nach, was man alles spüren kann. Auf diese Weise entsteht eine durch und durch körperliche Poesie. Doch geht es dabei nicht allein um die Empfindungen eines lyrischen Ichs, das seine Lunge und seine Gelenke spürt, nicht schlafen kann oder einen Goldfisch im Gehirn schwimmen fühlt - sondern um jene der ganzen Welt. Diese leidet wie der menschliche Körper unter Abnützungserscheinungen, von der toxischen Luft über das Insektensterben bis zum postkolonialen Zahnbelag. Stavarics poetisch reflektierte Sprache lässt Nervenbahnen entstehen zwischen dem Körper des Einzelnen und der physisch fassbaren Welt. Dabei sind nicht nur Schmerzen spürbar, sondern auch das Wachsen von Schneeglöckchen, postfaschistische Ampelkreuzungen oder sogar das Papierkorb-Icon am Bildschirm, das alles auszulöschen droht. Michael Stavarics spüren ist ebenso ironisch wie sensibel, eine lyrische Enzyklopädie individueller und kollektiver Empfindungen, die Einsamkeit und zwischenmenschliche Abneigung ebenso einschließt wie Empathie.