Stani, lui, écrit ce qu'il peint, peint ce qu'il écrit.
De part ses abîmes, il nous soulève vers notre plus grande dimension, celle que la plupart des hommes se refusent d'habiter, faute d'une conscience pour leur apprendre qu'elle est la leur, faute d'une raison assez dévergondée, donc assez sagace, pour leur prouver que les savoirs dont ils ont besoin, c'est en elle qu'ils se trouvent.