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In seinen Romanen, Erzählungen, Essays geht es immer um Ekel, Grausamkeit und vor allem und immer wieder um die moralische Labilität der Mitglieder der Nachkriegsgesellschaft. In der vorliegenden Erzählung fällt einem Romanistikstudenten und seiner Kollegin von der Anglistik eine besonders makabre Arbeit zu. In der Prosektur einer Universitätsklinik müssen sie Leichen aus einem Alkohol-Bassin in ein anderes umladen. Nicht nur der Job ist widerwärtig, sondern auch der Auftraggeber, ein Medizinprofessor. Nach Beendigung der Arbeit erfahren die Werkstudenten, daß ihre Mühe vergeblich war. Die Leichen sollten gar nicht mehr zur Forschung oder Ausbildung verwendet, sondern im Krematorium verbrannt werden. Es bleibt ungewiß, ob ihnen ihr Arbeitslohn überhaupt ausbezahlt wird.