Depuis son premier voyage en
Inde en 1928, Eliade ne cessera
d'en étudier les mystères
et les rites. Il écrit en 1956 Sur
l'érotique mystique indienne,
article portant sur cet aspect
primordial de la religion
indienne selon laquelle :
«Toute femme nue incarne la
Nature».
À travers un deuxième texte,
L'Inde à vingt ans, l'auteur
revient sur le souvenir émouvant
de sa première rencontre
avec le continent indien.
Avec Barabudur, temple symbolique,
Eliade parle du symbolisme
inhérent à l'architecture
religieuse à travers
l'exemple de Barabudur. Le
«monde» des cosmologies
antiques (Mésopotamie,
Inde, Chine) était imaginé
comme un vase rond, fermé.
Le temple était l'image de ce
monde.