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Bruno Frank entwirft in diesem historischer Roman ein Charakterbild Friedrich des Großen und seiner Zeitgenossen.Der Text des Neusatzes folgt der Ausgabe von 1924, erschienen im Ernst Rowohlt Verlag, Berlin. Textauszug»Er war eigens von Potsdam zur Stadt gekommen, um die Arnoldsche Angelegenheit zu beenden, und saß nun im schlechtesten Zimmer dieses Schlosses, das er nicht mochte, einem einfenstrigen, schmalen Gelaß, kaum ausgestattet, von einem primitiv, in Eile angebrachten Ofen bis zum Ersticken überheizt. Angezogen war er wie immer, nachlässig und ärmlich wie nicht der letzte Fourageoffizier in einer westpreußischen Garnison: zu abgeschabten Reithosen und klobigen Stiefeln trug er einen blausamtenen Überrock, der ins Grünliche schimmerte, und auf dem Kopf, seltsame Gewohnheit seit den Ahasverus-Jahren des großen Feldzugs, einen alten verbogenen Militärhut; der saß schief, die Generalsfeder war abgerissen, und an der Rißstelle hingen die Fäden herunter. Frisiert war er nicht, kaum recht gewaschen, die Haare waren ihm auf einer Seite des Kopfes schon weiß, auf der anderen noch graulich, in seinem Mund staken ein paar gelbe Stummel, der Körper war gekrümmt von der Gicht und entsagte jedem Anspruch auf Haltung; der König bot einen häßlichen und verwahrlosten Anblick. Die Augen aber, die großen, sonderbar geschnittenen, bei denen man fast immer auch oberhalb der Iris das Weiße sah, sie strahlten und triumphierten über diesem Verfall, wie die Sonne über einem Tümpel.«