Quand, au début des années 1980, un mal
étrange et encore innommé décima nombre
d'homosexuels, Olivier Charneux vit mourir
beaucoup de ses proches.
Bien qu'épargné par ce fléau, il chercha dans
ce face-à-face avec la mort précoce des raisons
de comprendre et d'espérer.
Jeune écrivain, il se tourna vers des «Phares»
qui balisèrent alors son chemin de survie. Ces
«Phares», pour lui, se nommèrent Racine, Pina
Bausch, Marguerite Duras, Barbara, Violette
Leduc, Jim Jarmusch, Christian Boltanski, Gus
Van Sant, Nan Goldin, Coppola, Bram Van
Velde, Hervé Guibert et quelques autres...
Avec eux, grâce à eux, il a surmonté le chaos.
Ces artistes lui ont surtout appris à aimer par
temps de détresse.
Voici le livre qui détaille avec minutie cette
aventure aussi douloureuse que lumineuse.