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Viele Generationen lang hielten sich bulgarische Roma Tanzbären, um das Auskommen ihrer Familie zu sichern. Während der kommunistischen Ära und darüber hinaus geduldet, wurde diese ausbeuterische Praxis mit dem Beitritt des Landes zur EU endgültig verboten. Witold Szablowski hat sich nach Bulgarien begeben, um vor Ort mit den ehemaligen Bärenhaltern zu sprechen und die Bären in ihrem neuen Zuhause, einem eigens angelegten Wildpark, zu besuchen. Das irritierende Verhalten der Tiere dort erinnerte ihn an die Argumente ihrer einstigen Besitzer, die sich, in scheinbarer "Freiheit" der jungen Demokratie lebend, die alten Strukturen zurückwünschten. Bestürzt und fasziniert von dieser Geschichtsverklärung, setzte Szablowski seine Reise in anderen postkommunistischen Staaten fort. Auch dort traf er viele, die den Untergang des Realsozialismus nicht verkrafteten. Seine Gespräche mit Stalin-Verteidigern in Georgien oder Castro-Anhängern in Kuba sind Zeugnisse dessen, dass ein selbstbestimmtes Leben in Freiheit für uns alle keine Selbstverständlichkeit ist.