Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Fin 76, un groupe qui n’a pas de nom, pas de répertoire personnel, mais qui a pas mal de culot, décide de jouer au Centre Américain de Paris avec pour tout signe distinctif un point d’exclamation. Depuis ce concert, ce groupe vend plus de 1 000 disques par jour. Dimanche et fêtes compris. Car en six ans d’existence, Téléphone va s’éparpiller en quelque deux millions d’exemplaires, pulvérisant tous les pronostics, les a priori et les partis pris. Ils ont détartré les oreilles de la France profonde, entraîné dans leur sillage des centaines de groupes, ridiculisé les règles du jeu d’un show-biz ronronnant, tricoté la langue française en rangs serrés et incrusté leur image dans le paysage quotidien du jeune Français des années 80. Plus qu’une identification, Téléphone est un modèle. Ils étaient plus de 300 000 à les voir pendant leur dernière tournée, personne en France n’a vendu plus qu’eux ces trois dernières années, Le Monde et Le Matin en ont fait leur “une”, et quelques ministres se sont déplacés pour être sur la photo. Téléphone : un engouement populaire comme la France n’en connaît qu’un tous les dix ans. Téléphone : une nouvelle approche des mots et de leur rythme. Téléphone : trois types et une fille autant artistes allumés que gamins, vagabonds, professionnels ou millionnaires très rusés. Téléphone : le rock à l’assaut du pouvoir des oreilles. Téléphone : une histoire qu’il vaut mieux raconter qu’expliquer.