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Pour qui examine la politique du P.C.F. sur les questions de l'école de 1944 à 1978, un paradoxe saute aux yeux. Le P.C.F. s'occupe constamment de l'école : ses projets, ses dépôts de lois, ses discours, sa presse en témoignent. Mais, en même temps, il paraît incapable de développer une politique spécifique des luttes scolaires, et se trouve vite dépassé lorsque l'école bouge. On sait que Baudelot et Establet ont cru pouvoir circonscrire la cause de ce paradoxe en qualifiant la politique scolaire du P.C.F. de planomanie : à force d'avoir la manie des plans, le P.C.F. aurait, selon eux, délaissé la réalité des luttes concrètes. Pierre Roche et Yves Vargas s'inscrivent en faux contre cette interprétation. Ils montrent que les plans visent moins à résoudre les questions de l'école capitaliste, qu'à organiser certaines structures internes du Parti, et qu'à préparer le terrain de l'Union. À travers et en dehors des plans qui s'enrichissent et se gomment successivement — depuis Langevin-Wallon jusqu'à Reconstruire l'école —, il faut bien se poser la question de la place réelle de l'école dans les luttes politiques des communistes. Ce texte se veut la première tentative documentée sur la politique réelle du P.C.F. à l'école. Les auteurs ont voulu par là répondre à l'invitation de la direction de leur Parti : faire l'effort d'étudier mieux sa propre histoire pour agir mieux aujourd'hui et demain.