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Elle est libre. Il est libertin. Belle alliance ou mauvaise idée ?
Libertin, richissime et farouchement indépendant, Julian Langley, duc de Kingsberry, n’a absolument pas prévu de se marier. Quant à la brillante et cultivée lady Georgia, voisine de ses terres, elle entend bien rester célibataire et continuer de mener sa vie et ses études autant que le lui permettent les règles et la bienséance du XIX<sup>e</sup> siècle anglais. Mais c’est compter sans sa belle-mère, qui veut lui imposer un mariage de convenance avec un vicomte répugnant. Alors, quand le duc de Kingsberry propose à Georgia un arrangement qui leur permettrait à tous les deux de rester libres, elle est tentée de dire oui. Mais Julian est arrogant, sûr de lui, riche, puissant... et célèbre pour ses frasques et ses nombreuses maîtresses ! Jusqu’où Georgia sera-t-elle prête à aller pour honorer son contrat sans renier sa liberté ? Le duc ne sera-t-il pas le premier à s’en mordre les doigts ?
***
– Que savez-vous exactement de mes voyages, Georgia ? – Je sais ce que vous m’en avez dit, l’autre jour, au musée… Je sais aussi que vous voyagez même lorsque vous êtes à Londres, et à toute heure, si j’en crois vos absences ces dernières nuits… Je raffermis la pression de ma main contre la douce cambrure de son dos. – Seriez-vous inquiète, ma chère ? Ou pire, jalouse ? Deux prunelles grises me fixent, furieuses ou goguenardes, je ne sais pas. – Je ne fais que constater et converser un peu. Ma jambe droite s’immisce un peu plus entre ses cuisses, contre le tissu aérien de sa jupe. Mon bassin frôle son ventre. À dessein, même si le contact a été aussi fugace et discret que possible pour éviter tout scandale. – Et moi je crois, ma chère épouse, que n’en déplaise à vos beaux discours, vous vous êtes ennuyée sans moi. Georgia rougit légèrement, une fois de plus. Mais, tandis que je contrains son dos à s’incliner contre ma main, elle redresse le menton. – Sans doute n’ignorez-vous pas que l’on peut passer seule des moments très agréables. Pour ma part, j’ai apprécié grandement les plaisirs solitaires dans notre lit cette semaine. Ils étaient aussi stimulants qu’enrichissants, figurez-vous. Elle relève encore un peu plus son adorable menton pointu. – Vous savez que l’on n’est jamais si bien servie que par soi-même, Monsieur, n’est-ce pas ? L’idée instantanée de mon épouse se caressant en mon absence comme elle vient de l’évoquer sans fard me donne l’envie immédiate de l’enlever pour aller la prendre dans la voiture qui nous attend dans la grande cour. Pour lui prouver que ma bouche dévorant son sexe, luisant de son désir pour moi, vaudra tous les plaisirs solitaires qu’elle a pu se donner cette semaine alors que je la fuyais pour ne pas céder à ses formes tentatrices. J’arrive à me freiner alors que la valse s’achève. Mais pas semble-t-il à me taire. Malgré ma mâchoire contractée par le désir, je parviens même à lui adresser un sourire désinvolte. – Permettez-moi, Madame, de vous démontrer le contraire ce soir. J’observe les prunelles arrondies qui me dévisagent. – Rentrons, voulez-vous ?