Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
In the year A.D. 8, Emperor Augustus sentenced the elegant, brilliant, and sophisticated Roman poet Ovid to exile--permanently, as it turned out--at Tomis, modern Constantza, on the Romanian coast of the Black Sea. The real reason for the emperor's action has never come to light, and all of Ovid's subsequent efforts to secure either a reprieve or, at the very least, a transfer to a less dangerous place of exile failed. Two millennia later, the agonized, witty, vivid, nostalgic, and often slyly malicious poems he wrote at Tomis remain as fresh as the day they were written, a testament for exiles everywhere, in all ages.
The two books of the Poems of Exile, the Lamentations (Tristia) and the Black Sea Letters (Epistulae ex Ponto), chronicle Ovid's impressions of Tomis--its appalling winters, bleak terrain, and sporadic raids by barbarous nomads--as well as his aching memories and ongoing appeals to his friends and his patient wife to intercede on his behalf. While pretending to have lost his old literary skills and even to be forgetting his Latin, in the Poems of Exile Ovid in fact displays all his virtuoso poetic talent, now concentrated on one objective: ending the exile. But his rhetorical message falls on obdurately deaf ears, and his appeals slowly lose hope. A superb literary artist to the end, Ovid offers an authentic, unforgettable panorama of the death-in-life he endured at Tomis.