Les pièces de ce deuxième volume montrent un jeune Horváth résolument engagé dans la lutte. Il a discerné le danger, a choisi ses adversaires, et le mobile de son écriture - le combat contre une société morbide et déracinée - devient évident. Son sujet, «le gigantesque combat entre individu et société», n'a rien perdu de son importance.