Après nous avoir convertis à la carte postale, après nous avoir délicieusement perdus dans Rio de Janeiro, Sébastien Lapaque nous entraîne dans les rues d’Alger l’indomptable, pour un hymne amical aux rencontres de hasard (qui fait bien les choses), aux antihéros de l’histoire (qui ne passe pas) et aux espoirs têtus.