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Menschen einer modernen, einer zukünftigen Generation leben ihren sündigen Alltag. In futuristisch-sterilen Räumen begehen sie die "sieben Todsünden" Hochmut, Trägheit, Unzucht, Zorn, Geiz, Neid und Unmäßigkeit. Es sind - fernab eines kirchlichen Moralbegriffs - die Vergehen einer erstarrten, sich selbst unheimlich gewordenen Menschheit, deren Sündhaftigkeit seltsam entrückt, unfaßbar, fast schon absurd, sich in Handlungen entlädt, die den Begriff der Sünde teilweise umkehren, neu beleuchten und gleichzeitig als literarische Botschaft des Autors ohne zu moralisieren eine untrügliche Moral einfordern.Die Bestrafung erfolgt nicht "am Jüngsten Tag" durch einen Richtergott. Der Sünder bestraft sich vielmehr selbst, die Sünde richtet sich gegen sich selbst - ganz anders aber als man es traditionsgemäß erwartet, nur in einem tieferen Sinn "gerecht". Einsamkeit, Verzweiflung, Fatalismus, Ausgrenzung, psychischer und physischer Mord sind solche Folgen jedes unsozialen, unmenschlichen Verhaltens, als das man "Sünde" definieren kann. In einer lieblosen, geilen, trügerischen, voyeuristischen Welt entpuppt sich aufkeimende Hoffnung als ein banales Element einer TV-Show.An "Todsünden"-Autoren wie Franz Kranewitter, Bert Brecht oder Eugene Ionesco anknüpfend, geht Felix Mitterer in diesem Werk, eine in sich verzahnte Einakterfolge für vier Personen, neue literarische Wege.