Je lève les yeux vers le haut de ma tête, mais je ne vois que le ciel.
Comme si mes yeux étaient placés si haut sur mon corps que j'étais
arrivé au sommet à partir duquel je voyais tout.
J'ouvre les yeux et je vois tout, comme si j'étais monté très haut,
que j'avais escaladé les plus hautes montagnes, passant par les endroits de mon corps les plus obscurs, grimpant sur mon ventre et ma poitrine, glissant sur mon dos où le soleil ne m'éclaire plus ;
tendant mes bras, ouvrant mes mains pour me retenir autour de moi.