Le livre est régi par une fillette à la poigne
de fer, qui utilise un matériau descriptif pour
exprimer une ambition qui n'a qu'un sens
sentimental.
Affaires d'ego parle d'une jeune fille
déséquilibrée du nom de Lauretta. Celle-ci
s'enlise sans son for intérieur. Elle revit
son histoire, celle de sa famille, de la proie
qu'elle est à cause de ses élans de
névrotique, de ses affaires privées et des
ses ambitions, amoureuses ou autres...
Pétri de résignation et de malchance,
l'antihéros de ce roman fait l'apologie
de la marche dans le cadre d'une
communion avec la nature, dont il
croit être la victime.
Parfois, il vous prend des envies de
grands espaces, mais pour un
antihéros, l'alchimie ne fonctionne pas.