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« Les neuf nouvelles qui composent Tout passe s'entrecroisent, se font écho, comme autant de variations autour de ce même motif obsédant de la transmission, de l'héritage, de ce que l'on laisse. Il y a quelque chose de cubiste dans la composition de ce livre, une façon très maîtrisée d'éclater le récit pour offrir plusieurs angles de vision en même temps, sans jamais dissiper les zones d'ombre. A chacun de choisir sa propre interprétation en comblant les blancs à sa guise. Drôle de jeu qui hante le lecteur longtemps après qu'il a refermé le livre. » Transfuge « Le climat qu'installe Bernard Comment dans ces neuf nouvelles est à la mélancolie. Le mot que l'on métaphorise à Cuba par le « gorrion », un moineau muet, explique l'écrivain dans son avant-propos qui parle d'oiseaux... Tous ses personnages sont au milieu ou à la fin de leur vie, à l'heure de prendre la mesure des choses, à l'heure des regards sur le passé, à l'heure où s'impose avec force ce qu'on n'a jamais voulu savoir. » Le Temps « Bernard Comment nous laisse entrer dans leurs vies, l'espace d'un petit moment. Il le fait avec une mélancolie vigoureuse et un délectable sens de l'intrigue, glissant dans ses récits juste assez de vides pour appâter ses lecteurs, et juste assez de pleins pour les contenter. » Le Monde