Un tel traité, un jeune homme ne l'écrira pas.
Mais je ne pense pas que ce soit la peur
de la mort qui me l'inspire.
C'est, suite à de nombreuses épreuves,
simplement une façon de rendre grâce
et aussi ce refus de la décadence
où est tombée la langue poétique de mon siècle.
C. M.