Les Mexicains adorent la musique et les flonflons. Ainsi
qu'il arrive je crois dans tous les peuples du monde, il suffit
d'une danse pour les rendre insensibles à ce qui les tracasse
ordinairement : le sentiment du rien, le doute identitaire,
l'ombre de la mort.
J'ai effectué en février 2009 un séjour au Mexique d'où j'ai
rapporté quelques textes inspirés partiellement par des conférences
que j'avais prononcées au Collège de Mexico et à
l'Université de Zacatecas. Ce sont ces textes qui se trouvent
rassemblés dans le présent recueil.
C.R.