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Schon der Frage, wie richtig oder authentisch über das Leben zu philosophieren sei, haftet seit Langem etwas Anachronistisches an. Sie steht, so möchte man sagen, quer zur Lage der Dinge. Wir glauben zu spüren, dass wir mit unseren sogenannten Reflexionen nicht mehr an das Wesen der Welt, an ihr Sein, heranreichen.Für den Philosophen Peter Strasser ist das Fenster gleichermaßen Metapher wie realer Ort, von dem das Denken seinen Ausgang nehmen kann: »Ich höre den Straßenlärm, der durchs Fenster dringt, dazwischen Vogelgezwitscher aus den Bäumen, die teilweise noch kahl, teilweise hellbegrünt im Hof des Hauses herumstehen.«Fenster sind Medien, die mit der Außenwelt verbinden: der neugierige Blick nach draußen oder der indiskrete Blick ins Privatleben anderer ... Aber Fenster sind keine Türen, sie entlassen nicht unmittelbar ins Freie; sie halten, sowohl trennend als auch schützend, Bedrohungen von Draußen auf Abstand.In unserer Epoche sind sowohl die Mächte der Zerstörung als auch die Erschütterungen alter Gewissheiten gleichsam als Basso continuo immerfort spürbar. Peter Strassers Vorletzte Dinge wollen, indem sie die Apokalypse des Menschlichen weder verdrängen noch beschwören, philosophisch bekräftigen, dass »alles noch da« ist - im Modus des Hinlebens auf die letzten Dinge zu.Das Endspiel ist das Spiel all derer, die durch ihre Gegenwart noch einmal den Reichtum der Welt, ihre Tiefe und Fülle, vergegenwärtigen. In den vorletzten Dingen rumoren die letzten; diese bergen die Wahrheit dessen, was uns unsere Welt zugleich Exil und Heimat sein lässt.