Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Fühmanns Rede über den in der DDR verpönten Gottfried Benn 1981 war nur in einer kirchlichen Einrichtung möglich. Sie blieb ungedruckt, aber als Tondokument erhalten. Ein erstaunliches Zeugnis!In der DDR war Gottfried Benn lange eine Unperson. Er galt als zu sehr verstrickt mit den Nationalsozialisten; tatsächlich hatte er die »Bewegung« anfangs begrüßt, allerdings wandte er sich schnell davon ab, um in einer »aristokratischen Form der Emigration« zu überwintern. Der DDR blieb er dennoch hochverdächtig. 1981, und zu diesem Zeitpunkt war das absolut spektakulär, nennt Fühmann ihn in einer Rede in den Samariteranstalten Fürstenwalde/Spree einen der »größten deutschen Lyriker in diesem Jahrhundert«. Sofort macht er klar, dass er Benn nicht nur schätzt, sondern ein intimer Kenner seines Werkes ist. Fühmann, selbst ein Schriftsteller, der sich seine eigenen politischen Irrtümer nicht verzeihen konnte (er hatte den Nazis angehangen und war nach 1945 ebenso blind den sozialistischen Parolen auf den Leim gegangen), sah in Benn insofern auch einen Gefährten. Er liest seine Gedichte als Kollege: Wie sind sie gemacht? Wie sind sie zu verstehen? Dass er vor einem Publikum spricht, das Benn gewissermaßen kaum dem Namen nach kennt, macht einen großen Reiz dieses Vortrags aus, der nach einem Tondokument verschriftlicht wurde und in der Fühmann-Werkausgabe nicht enthalten ist.