«Bien sûr, Thomas n'avait pas choisi son destin ; il n'avait rien
fait pour être jeté au coeur d'un conflit à l'échelle d'un monde.
Mais il était le nouveau Nommeur.
Une soudaine bouffée de colère bouscula son malaise : la
faute incombait en réalité au Dénommeur. L'horrible vieillard
qui hantait ses rêves était à l'origine de tous les malheurs
d'Anaclasis. Mais, là encore, Thomas ne parvenait pas à se
départir d'un profond malaise : pourquoi l'homme lui ressemblait-il
autant ?»
«Au moins aussi bien que le tome précédent, que j'avais
déjà classé parmi mes livres préférés. "Thomas Passe-Mondes"
est clairement ma série culte. Vivement la suite !»
(fnac.com)