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Le 29 octobre 1728, alors qu’il rentrait chez lui, Jean Boiveau, « Sieur de Volesvres », est assassiné sur la route. Son épouse, Magdelaine, est accusée du crime — perpétré par tueur à gages — et condamnée, un an plus tard, à la question puis à la décapitation. L’affaire Boiveau, qui défraya alors la chronique, amènera la déposition de cent cinquante témoins. Relatant les faits avec talent, Benoît Garnot s’attache surtout à reconstituer le cadre social et les modes de pensée en œuvre dans ce fait divers, ceux de la victime et de son entourage, ceux des juges, et enfin ceux du clergé, qui tentera de réhabiliter la « dame de Volesvres » après sa mort. Par les passions qu’elle implique, par la richesse exceptionnelle du dossier judiciaire dont nous disposons, cette affaire criminelle forme un témoignage précieux pour mieux connaître les mentalités au XVIIIe siècle.