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Le 24 avril 1937 à Lyon, un enfant de 8 ans est mortellement blessé par les jets de pierre d’autres enfants. La dimension politique de l’affaire est vite révélée par la presse et l’enquête judiciaire : l’enfant, fils d’un adhérent du Parti social français, a été agressé aux cris de « La fille ! », « Cagot », « fasciste », « Croix-de-Feu ». L’affaire prend une ampleur nationale et fait l’objet d’une couverture de presse exceptionnelle. Sur la défensive, la presse favorable au Front populaire tente, non sans difficultés, de la renvoyer à son statut de fait divers. D’autres violences à caractère politique, visant enfants ou adolescents, sont dans les semaines suivantes comparées à la mort de Paul Gignoux et à ce qu’elle révèle. À partir de là, l’ouvrage revient, en étudiant d’autres cas concernant des adultes, sur la violence politique dans son ensemble et repose la question de l’éventuelle « brutalisation » de la société française en 1936-1938 et des potentialités de guerre civile qu’elle recélait.