Un mort tout neuf est la chronique d'un enterrement. Quatre jours séparent le décès de la cérémonie ; Dabit relate les mille détails qui font qu'un mort peu à peu devient la propriété des vivants.
Au travers d'une description parfaitement lucide des moeurs petites-bourgeoises, il nous montre finalement ce que la mort a de plus tragique : son incapacité à bouleverser le cours de la plus banale mesquinerie.