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Als der Erste Weltkrieg sich dem Ende zuneigte, hofften einige Deutschschweizer Offiziere auf Aufstände und Unruhen in der Schweiz. Nicht weil sie die protestierende Arbeiterschaft unterstützt hätten, im Gegenteil: Die Unruhen niederzuschlagen, hätte es ihnen erlaubt, ihren Ruf zu polieren und am Ende der ereignisarmen Grenzbesetzung doch noch etwas zu erleben.Gestützt auf bisher wenig beachtete Briefe und Tagebücher zeigt die Studie, wie Deutschschweizer Offiziere den Aktivdienst im Ersten Weltkrieg erfahren haben. Tatendrang und Bewährung standen nach einer Phase der Unsicherheit im August 1914 im Vordergrund, Bedürfnisse, die die Offiziere während der oft als ereignisarm und sinnfrei erfahrenen Grenzbesetzung und angesichts lauter werdender Kritik an der Armee kaum befriedigen konnten. Erst der Ordnungsdienst während des Landesstreiks sollte ihnen die Möglichkeit dazu bieten. Die Studie bietet ein Panorama wesentlicher Elemente der Aktivdiensterfahrung der Offiziere. Damit erschliesst sie in zweierlei Hinsicht Neuland: Sie füllt eine Lücke - die Erfahrung der sogenannten Grenzbesetzung ist noch kaum erforscht - und sie knüpft an kultur- und erfahrungsgeschichtliche Forschung an, die in der Schweiz in den vergangenen fünfzig Jahren oft nur verzögert und unvollständig rezipiert wurde.