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"Und wenn ich nicht mehr leben möchte, was dann?" Diese Frage beschäftigt viele Menschen und befeuert die aktuelle Debatte. Bundesgesundheitsminister Hermann Gröhe lehnt jede organisierte Beihilfe zur Selbsttötung entschieden ab: "Unsere Rechtsordnung verpflichtet uns, Leben und Würde der Menschen zu schützen. Der Patientenwille gilt. Beihilfe zur Selbsttötung darf aber niemals Behandlungsvariante werden. Notwendig ist vielmehr der Ausbau der Palliativ- und Hospizversorgung."
Auch Nikolaus Schneider hat als Theologe eine klare Meinung zum Thema: "Die Entscheidung über Leben und Sterben liegt nicht in unserer Hand - Gott hat in dieser Frage das letzte Wort." Damit schließt auch er die Hilfe zur Selbsttötung aus. Aber seine Frau Anne ist an Krebs erkrankt und er hat ihr versprochen, dass er sie in die Schweiz begleitet, wenn sie nicht mehr leben und Selbsttötungshilfe in Anspruch nehmen möchte. Auch wenn es seiner Überzeugung widerspricht. Er kann sie nicht alleine lassen - denn am Ende zählt für ihn nur die Liebe.