Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Oui, les banques sont mortelles. Créée en 1992, Pallas Stern n'est pas le Crédit lyonnais, qui fut maintenu en vie à coup de perfusions alimentées par le contribuable. Mais son histoire est au moins aussi instructive, que celle de l'établissement public. Car la réputation de toute la place est compromise par la plus grande faillite bancaire privée de l'après-guerre, déclarée en juin 1995. Ni le Trésor, ni la Commission bancaire, ni la COB, n'ont pu empêcher le désastre. Sans parler du prestigieux conseil d'administration de la banque, où siégeait, sous la houlette de Gérard Eskénazi, tenu pour un magicien de la finance, la fine fleur de l'establishment. Pourquoi ? Qui est vraiment responsable de cette déroute qui aura finalement coûté cinq milliards de francs à quelques grands investisseurs, mais surtout à des milliers de petits créanciers ? Une minutieuse enquête, appuyée sur de nombreux documents confidentiels.