Quel enfant n'a rêvé d'avoir une maison à lui, une maison telle que son imagination la lui représente, une maison très très spéciale ? Le petit garçon qu'imaginent Ruth Krauss et Maurice Sendak chante sur un air de jazz cette maison fantastique où l'on court, l'on chante, l'on danse, où le vieux lion mange les coussins des chaises sous l'oeil des ouistitis qui sautent au plafond et tout le monde crie : « Encore ! »
Cet album allègre n'a pas pris une ride depuis 1953. Il est traduit pour la première fois en français par Françoise Morvan, qui a déjà traduit Ouvrir la porte aux papillons et Un trou, c'est pour creuser, autres grands classiques de la littérature américaine pour enfants dus à Ruth Krauss et Maurice Sendak.