C'est un peu le Madame Bovary de Rosamond Lehmann; mais à l'anglaise évidemment, et à la façon très spéciale de la romancière experte en vies brisées. Moins de sarcasme que de compassion, de rage que d'amertume désillusionnée.
Dans le droit fil de Poussière (rééd. Phébus, 2003), un autre grand Lehmann - qui malgré le temps (1930) semble lui aussi n'avoir pas d'âge.