«Il est toujours bon d'écrire aux femmes
que l'on aime. Ne serait-ce que pour les avertir,
une fois la rupture consommée, qu'elles font bien
de fuir ceux qui leur ont menti, les ont bernées,
les ont parfois trompées pendant si longtemps.
Il en va de leur départ comme de la mer, lorsque
celle-ci se retire : on s'aperçoit de ce qui se cachait
sous les flots. Des bidons d'essence, de vieux pneus,
des bestioles décharnées.»
Y. M.