Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Lorsque, en 1980, Jean-Louis Barrault accorde une série d’entretiens au critique dramatique Guy Dumur, il est un comédien, un metteur en scène et un directeur de troupe de premier plan. Il a soixante-dix ans, mais évoque encore la figure mythique de l’éternel jeune homme, toujours Pierrot, toujours bohème ; il est dans tous les esprits le Deburau des Enfants du paradis et l’indéfectible partenaire de Madeleine Renaud. Ce sont aussi des facettes moins connues de son existence et de sa carrière qu’il livre ici, au fil de la conversation, avec une franchise désarmante : de sa « vie de mauvais garçon » – petits boulots et premières auditions chez Dullin – à l’extraordinaire aventure du théâtre d’Orsay, en passant par la création de la compagnie Renaud-Barrault et la direction houleuse de l’Odéon. D’anecdotes en confidences, on croise Claudel et Artaud, Camus, Malraux et Boulez, comme autant de personnages d’un véritable moment de théâtre : la langue savoureuse de Barrault nous donne à rire et à songer, rejoue ses plus grands spectacles, créations géniales et éphémères, et raconte la destinée errante de l’artiste en saltimbanque : une vie de désir et d’émerveillement constants, un corps à corps ininterrompu avec la scène.