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»Ein Aufhören, Aufrichten, ganz in Schwarz ein Atemzug Aufmerksamkeit« - mit diesen Worten setzte Michael Donhauser vor nun fast vierzig Jahren an zum poetischen Flug, der bis heute nicht an Höhe, nicht an Verve und Versatilität verloren hat. Getragen von einem Wind, der den Rhythmus vorgibt, manchmal aufbraust, an den Bäumen, den Rosen rüttelt, dann wieder abklingt, gleich einem Atmen in allem, »wehend von fernher und feiernd«, erkundet Donhausers Dichtung seitdem die Welt mit jedem Vers ein Stückchen mehr, schaut um sich und lauscht, fächert sie auf und lässt sie sinnlich erfahrbar werden in einem allein der poetischen Wahrnehmung verpflichteten Werk. Einem Werk, das mit Unter dem Nussbaum bei Weitem keinen Abschluss findet, sondern sich mit Blick auf bereits Veröffentlichtes, Verstreutes, Verlorengeglaubtes in neuen Texten aufrichtet, anhebt, ein Schlagen mit den Flügeln, hin zu jenem Ort, wo sich zeigt, was Gedichte vermögen.