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En su palacete parisino de la avenida de Iéna, 51, el mecenas y coleccionista Calouste Gulbenkian protagoniza un encuentro entre tinieblas con el artista plástico que conduce la acción de este relato: ensoñaciones y recuerdos de sus obras más queridas y cómo llegaron a formar parte de su colección (base de la fundación lisboeta del mismo nombre), de Fantin-Latour, Rubens, Rembrandt, Cranach o Velázquez, donde la vanitas clásica, esa conciencia de la inutilidad de los placeres mundanos y la futilidad de la vida, nos lleva a un lado y otro de la frontera entre la fantasía y la realidad, la creación artística y la pasión del coleccionismo. Además de la reproducción de las obras que son objeto de este diálogo, la reflexión de Almeida Faria se complementa con el tríptico Vanitas, que la pintora portuguesa Paula Rego creó especialmente para esta obra.