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Kein anderes Land steht bei den Vereinten Nationen so oft am Pranger wie Israel. Der UN-Menschenrechtsrat etwa hat den jüdischen Staat in seinen Resolutionen häufiger verurteilt als alle anderen Länder dieser Welt zusammen. Auch die Generalversammlung der UNO beschäftigt sich in ihren Diskussionen weitaus öfter mit der einzigen Demokratie im Nahen Osten als etwa mit Syrien oder dem Iran. Die für Bildung, Wissenschaft und Kultur zuständige UNESCO verabschiedet am laufenden Band Resolutionen, in denen die historischen Bezüge des Judentums zum Land negiert werden. Und das sind nur einige Beispiele von vielen. Grund genug, der Frage nachzugehen: Wie halten es die Vereinten Nationen mit Israel? Und wäre ein Teilungsbeschluss, wie ihn die UNO 1947 verabschiedete, heute überhaupt noch denkbar?