Comment fait-elle, Virginie Despentes, pour écrire autant de vies avec autant de
langues, de destinées, de soubresauts, d'arrêts brutaux ou d'espérances folles ?
L'eau fraîche, les odeurs, les parfums, les musiques, les psaumes de la nuit ne lui
échappent jamais. Les sexes dans les pantalons, les désirs dans les vêtements, les
crises, les doutes, tout chez Despentes vient comme une évidence.
Marc Lavoine, Libération
L'écrivaine fait le choix de surprendre. À l'infinie noirceur du premier tome succède
la lumière qui baigne celui-ci.
Raphaëlle Leyris, Le Monde
Une saga indignée et désenchantée.
Patrick Cohen, France Inter