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Tim Trzaskaliks Versurren ist ein poetisches Tagebuch, die Zwietracht einer Beziehung. Jemand, der Verse baut und die Poesie in Szene setzt. Zu einem Getrennt Zusammensein. Gelingen und Scheitern gemeinsamen Tuns. Der Vers als Utopie einer angemessenen Spannung zwischen Laut und Bedeutung. Die Unzulänglichkeiten der Sprachen werden auf dem Papier in einer Vision vergütet, bei der er sein Gesagt-Getan in Stellung bringt, solange das Tun in seinem Sagen besteht. Der Dichtende kann sich dabei alles bisher in der Geschichte der Poesie Gesagte anverwandeln, Worte anderer zu eigen machen und gänzlich Disparates in versierter Anschauung zusammenklingen lassen, sei es in der Bibliothek, sei es draußen, sei es im intimen Zwiegespräch mit der Abstraktion Poesie als Summe ihrer Taten: "Gib acht, mein Abwesend Leben!" Hier "verselt" jemand, "um nicht zu sein, / was er ist, / sondern zu werden, was er weiß und fühlt. / Und mehr noch was er macht. / Was du hier mit ihm machst."